Escort amoureuse d’un client – histoire d’amour entre une prostituée et son client

Escort amoureuse d’un client – histoire d’amour entre une prostituée et son client

Vous trouverez sur cette page l’histoire vraie d’un client et d’une escort tombés amoureux et vivant désormais ensemble. Cette histoire d’amour hors du commun est véritable, elle a débuté en 2017 à Genève. Elle est racontée sous la forme d’une interview donnée par le client en question: Marc*.
Comment se retrouve t-on en couple avec une escort ? Etais tu un habitué des prostituées ? Quel âge avais tu quand tu l’as rencontré ?
J’ai rencontré Irina peu de temps après avoir commencé à fréquenter les escorts et les salons érotiques sur Genève, j’avais 31 ans à l’époque, Irina en avait 26, aujourd’hui j’ai 38 ans. Je sortais d’un divorce compliqué, avec des conséquences financières importantes pour moi. J’étais assez dégouté des femmes en général, mais j’avais malgré tout besoin d’avoir quand même des contacts charnels… J’évitais également de revoir plusieurs fois la même escort, et je n’avais absolument pas pour idée de me mettre en couple ni même de tomber amoureux d’une escort…
Je n’étais pas non plus naïf et je connaissais très bien ces histoires sordides de clients pigeons, en particulier en Thaïlande, tombant amoureux d’escorts locales, se faisant presser comme des citrons et rentrant en Europe une main devant une main derrière. J’avais aussi entendu parler d’un ami d’une connaissance qui s’était bien fait pigeonner par une escort latine à Genève, des centaines de milliers de francs de perdus. Je connaissais donc les stratagèmes des escorts, et même les techniques « commerciales » de certaines escorts pour vous fidéliser consistant à vous faire croire que vous êtes spécial. J’étais donc au départ assez méfiant et ne me laissais pas embobiner.
Si tu étais si méfiant, pourquoi es tu tombé amoureux ? qu’est-ce qui a déclenché le coup de foudre ? d’ailleurs était-ce un coup de foudre ?
Non ce n’était pas spécialement un coup de foudre justement à cause de ma méfiance. Mais il faut dire qu’il y a eu quand même une sorte d’alchimie qui m’a poussé à la revoir une seconde fois. Irina est d’origine russe, elle est donc très féminine. Les femmes en Russie sont de manière générale très féminines, elles le sont restées car il n’y a pas eu de mouvement féministe comme chez nous qui ont complètement bouleversé les rapports homme femme. J’en ai fais les frais et j’ai donc fais partie des 75% de divorces initiés par la femme.
Donc quand vous rencontrez une femme russe qui n’a pas grandi en Europe, ça vous fait vraiment bizarre. C’est un peu la mentalité de nos grand mères et arrières grand mères, celles qui ont grandi dans les années 40. C’est premièrement la féminité d’Irina qui m’a marqué. Quand je parle de féminité, ce n’est pas uniquement le cliché de la femme coquette, c’est aussi et surtout le caractère. C’est à dire de l’humilité et de la modestie dans le caractère, le respect, l’écoute. Pas cette espèce d’hystérie de princesse trop gâtée qu’on retrouve aujourd’hui chez les femmes européennes. Ca ressemble d’ailleurs apparemment un peu selon certains au caractère des femmes asiatiques d’Asie de l’ouest (Thaïlande, Vietnam, Philippines).
Ensuite il faut aussi dire qu’Irina a tout ce qui m’attire chez une femme, même si je ne suis vraiment pas exigeant physiquement. Elle est mince, les yeux marrons, elle a ce visage qu’on retrouve souvent chez les femmes en Russie: les lèvres épaisses sans être grossières, un nez en trompette.
Dessin ressemblant beaucoup à Irina selon Marc.
Comment s’est passée votre première rencontre ? Pourquoi as tu décidé de revoir cette escort en particulier ?

Au deuxième rendez-vous je ne pensais rien de plus de tout ça, je voulais simplement profiter du moment présent, ce n’est qu’au 3eme rendez-vous que tout a changé…

On va dire que c’était une rencontre normale avec une escort, une bonne rencontre même, Irina était souriante et joviale, elle m’a mieux accueilli que ma femme en 8 ans de mariage… Elle m’a fait passer un bon moment tout simplement. Nous avons discuté un peu sur la fin et je voyais qu’elle s’intéressait vraiment à mes réponses, ce n’était pas une discussion classique d’escort cherchant à mettre à l’aise le client. J’avais d’ailleurs reconnu son accent russe et j’avais donc parlé quelques mots en russe qui me restaient de mes études à l’université. Elle avait beaucoup apprécié entendre un étranger parler sa langue natale, et cela avait créé une sorte de premier lien.
C’est ce premier lien, ce bon moment « sincère » que j’ai passé avec elle qui m’a poussé à la revoir. Elle aussi paraissait contente de me revoir, elle me l’a d’ailleurs avoué après. Nous avons donc passé une nouvelle fois un bon moment ensemble, un moment de complicité où je continuais à baragouiner du russe pour la faire rire. Au deuxième rendez-vous je ne pensais rien de plus de tout ça, je voulais simplement profiter du moment présent, ce n’est qu’au 3eme rendez-vous que tout a changé…
Au 3eme rendez-vous, je dois l’avouer, j’avais comme une sorte de stress, une appréhension, la même appréhension que vous avez en début de relation… J’avais honte de moi de ressentir cela pour une escort et j’avais même pensé à annuler, mais j’avais finalement cédé à mes pulsions et m’étais quand même rendu chez Irina. La rencontre s’était encore une nouvelle fois très bien passée. Juste au moment du départ, j’avais fini par dire à Irina que j’allais peut être ne pas revenir car je pensais à arrêter d’aller voir des escorts, que j’avais fais le « deuil » de mon mariage et que voulais arrêter ces rencontres tarifées sans lendemain.
En entendant cela Irina m’avait dit immédiatement que si je le voulais je pouvais venir la prochaine fois sans payer. Sur le moment j’avais cru que c’était une méthode commerciale d’escort pour fidéliser le client, et j’avais donc dis à Irina sur le ton de la blaque « c’est 3 achetés 1 offert? ». A ce moment là je vis son visage s’assombrir et se détourner, je venais de vraiment la blesser. Un peu désemparé, ne comprenant pas trop ce qu’il venait de ce passer, je tentais de me rattraper sans succès. Après plusieurs tentatives pour la faire parler, elle finit par m’avouer qu’elle aimait que je vienne la voir, qu’elle aimerait que cela continue et qu’elle n’avait pas besoin de mon argent.
Assez surpris, je restais avec elle plusieurs heures de plus, dépassant largement les deux heures initiales, et nous passâmes finalement la soirée ensemble. Nous nous revîmes plusieurs fois par la suite et c’est comme cela que nous fûmes progressivement plus ou moins en couple et de plus en plus amoureux l’un de l’autre.
Le début de relation n’était il pas trop difficile ? Cela n’est il pas dur à porter, surtout pour toi lorsque tu penses à son passé ?
Oui je ne te caches pas que cela fût très difficile au départ. Tu es partagé entre tes sentiments pour elle et le dégoût qu’un homme normalement constitué peut ressentir dans cette situation. Avec le temps tu fini par t’y habituer… plus ou moins.
Aujourd’hui je relativise, qui est vraiment la pute entre une escort et une femme qui divorce avec des enfants en bas âge, qui demande des pensions alimentaires à plusieurs milliers de francs par mois et qui dilapide cet argent (normalement pour les enfants) dans des fringues de luxe et des voyages ? Personnellement j’ai plus de respect pour d’anciennes escorts comme Irina que pour certaines femmes d’aujourd’hui qui détruisent leur famille et le bien être de leurs enfants par pur égoïsme.
Irina a eu une enfance difficile, elle a grandi dans les années 90 en Russie. Cette période était particulièrement dure car elle suivait la chute de l’URSS, l’économie était au plus mal, la vie était difficile pour la plupart des gens et la prostitution était courante. Irina avait des problèmes de famille pendant son adolescence, elle avait fini par fuguer et s’était retrouvée SDF pendant quelques temps. Elle avait commencé par se prostituer en Russie, puis avait eu la possibilité de partir en Europe et après quelques années, de venir en Suisse. Aujourd’hui elle a bien sûr arrêté d’être escort et a trouvé un travail dans le canton de Vaud où nous vivons.
Avez-vous des projets aujourd’hui en 2024 ?
Oui, nous pensons à avoir des enfants. Nous pensons également à quitter la Suisse pour la Russie. Les graves problèmes de société actuels (wokisme, immigration de masse) nous poussent à aller là où les politiciens travaillent encore pour le bien commun. Nous attendons d’avoir suffisamment d’argent pour investir dans plusieurs appartements en Russie et acheter notre logement à Kazan là où Irina est originaire.
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